L’hydrogéologie s’attache à comprendre l’état et la circulation de l’eau dans le sol, et plus précisément les couches géologiques qui stockent de l’eau que l’on nomme des aquifères.
Ce volet se base essentiellement sur la géologie qui étudie l’état et l’histoire des formations du sous-sol. Les aquifères correspondent à des couches géologiques plus ou moins perméables, ils sont séparés par des formations peu ou pas perméables. L’échelle des temps géologiques indique la formation des couches dans le temps. Comme on peut le voir sur les coupes géologiques du bassin versant de la Pimpine, certaines de ces couches apparaissent plus ou moins partiellement du fait de l’érosion en surface, ou de changement important dans le temps tels que des glaciations, des régressions ou transgressions marines, des failles etc.
Les couches géologiques se succèdent de la plus récente en surface, à la plus ancienne en profondeur. Toutefois, avec les mouvements de terrain et les érosions dans le temps, ces couches on pu être modifiées, courbées, voir complètement érodées au point de disparaître,...
Ce que l'on observe aujourd'hui est la résultante de tout les évènements qui se sont déroulés dans le passé géologique, sur des millions et des milliards d'années.
Les cours d’eau du territoire naissent ainsi de sources situées au contact des Argiles à graviers et/ou des calcaires lacustres superposées aux Calcaires à Astéries.
D’après la base de données sur l’eau ADES, la zone d’étude est concernée par 2 aquifères :
Pour qualifier et étudier ces aquifères il existe des puits ou des forages dans lesquels sont relevés les variations de niveau d’eau, ou de niveau piézométrique.